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Les Schtroumpfs, une facétieuse histoire belge qui rapporte schtroumpfement gros
La licence, dont les droits appartiennent toujours à la famille de Peyo, génère un milliard de dollars de ventes de produits dérivés.
Chapeau rouge et chiffres au vert : le «so British» Paddington, un ourson en or
Il n'y a pas que Disney et Pokémon dans la vie ! Tout comme les États-Unis et le Japon, le Vieux Continent a su concevoir des œuvres qui sont devenues des empires du produit dérivé, séduisant les consommateurs du monde entier. Tour d'Europe de ces licences pensées pour les petits... et les plus grands.
Les licences européennes qui cartonnent à l'international En savoir plus sur notre série
Le Grand Schtroumpf métamorphosé en DJ devant ses platines, la Schtroumpfette doublée en anglais par la star américaine Rihanna… Le quatrième film à l'effigie des petits hommes bleus, qui est sorti le 16 juillet au cinéma, donne un nouveau coup de jeune à la célèbre licence belge, qui fêtera cette année ses 67 ans. Même s'il a été étrillé par la critique, le dernier opus devrait doper les achats de produits estampillés Schtroumpfs, qui dépassent le milliard de dollars. « Chaque sortie au cinéma génère de nouvelles envies d'acheter des produits dérivés et entraîne ainsi des pics de ventes, reconnaît Philippe Glorieux, directeur marketing d'IMPS (International Merchandising Promotions& Services), la société familiale qui gère les royalties autour de la marque Schtroumpf. Un film peut générer des revenus jusqu'à deux fois plus élevés qu'une année classique. »
Les Schtroumpfs font figure de vétérans dans l'univers du divertissement. Ils apparaissent pour la première fois en 1958 dans Le…